Le samedi 6 avril, The Kooks venaient présenter leur cinquième album Let’s go sunshine au Zénith de Paris. Un concert qui s’est placé sous le signe de la nostalgie.
J’avais quinze ans lorsque j’ai découvert The Kooks pour la première fois et comme en témoignait le public présent dans un Zénith pas totalement complet, je n’étais pas la seule dont l’adolescence a été baignée au son des mélodies pop du groupe anglais.
D’abord pour bien commencer les festivités, le groupe avait invité l’artiste écossais Callum Beattie et ses compatriotes, The Blossoms.
Seul sur scène avec sa guitare, le jeune Anglais Callum Beattie a livré un set efficace avec seulement quelques chansons. L’artiste au capital sympathie certain semble avoir de beaux jours devant lui et je ne serais pas surprise de le voir faire une tournée solo dans les prochains mois.
Place ensuite aux Blossoms, dont le succès commence à devenir de plus en plus grandissant. Le groupe était déjà passé dans la capitale l’année dernière à La Maroquinerie. Un concert qui avait rapidement été sold out et qui avait été salué par la critique. Depuis, les Blossoms semblent encore avoir conquis de nouveaux fans. Le public connaissait les paroles de leurs titres les plus connus à l’instar de Charlemagne et réclamait certaines autres chansons. Un concert convaincant qui témoigne de leur talent.
Enfin arrivent les tant attendus The Kooks. Le groupe commence par un titre bien connu de leur répertoire, Always where I need to be, sorti il y a déjà onze années (!) et qui n’a pas pris une ride. The Kooks sont heureux d’être sur scène, ça se voit et ça se ressent. Débordant d’énergie, le groupe mené par le leader Luke Pritchard promet un concert réunissant leurs anciennes chansons, qui ont fait leur succès, et des titres plus récents, en provenance de leur dernier album. On a pu ainsi entendre des morceaux tels que Four leaf Clover, All the Time, Weight of the World, Pamela mais ce sont en particulier leurs chansons les plus vieilles qui ont rencontré un franc succès auprès du public (Sofa Song, Eddie’s Gun, She Moves in her own way, Ooh la, Do you wanna, Seaside, Junk of the Heart, …) Au total, le public a pu se délecter de vingt-deux des plus beaux morceaux des Kooks. Tous les titres les plus connus sont joués, transportant les fans de la première heure, une dizaine d’années en arrière. Le concert se clôture sur Naive, repris à l’unisson par un public connaissant toutes les paroles et qui semble les connaitre depuis déjà bien longtemps …
Alors le concert des Kooks, nostalgique ? Oui, mais dans le bon sens. On se souvient de leurs débuts, jouant dans les rues de Paris, dans des salles plus ou moins intimistes et on ne peut qu’applaudir leur très joli parcours. C’était la seconde fois que je les voyais et les Kooks deviennent toujours un peu plus professionnels, suivent une évolution musicale intelligente et diversifiée et prouvent qu’ils n’ont pas besoin d’un attirail fastueux de mise en scène pour offrir un concert de qualité.
Quatorze ans de carrière, certes, mais toujours autant d’énergie, de joie, de passion et surtout, The Kooks ont réussi à rester humbles et proches de leur public. On leur souhaite encore autant d’années de carrière.
Le samedi 6 avril, The Kooks venaient présenter leur cinquième album Let’s go sunshine au Zénith de Paris. Un concert qui s’est placé sous le signe de la nostalgie.
J’avais quinze ans lorsque j’ai découvert The Kooks pour la première fois et comme en témoignait le public présent dans un Zénith pas totalement complet, je n’étais pas la seule dont l’adolescence a été baignée au son des mélodies pop du groupe anglais.
D’abord pour bien commencer les festivités, le groupe avait invité l’artiste écossais Callum Beattie et ses compatriotes, The Blossoms.
Seul sur scène avec sa guitare, le jeune Anglais Callum Beattie a livré un set efficace avec seulement quelques chansons. L’artiste au capital sympathie certain semble avoir de beaux jours devant lui et je ne serais pas surprise de le voir faire une tournée solo dans les prochains mois.
Place ensuite aux Blossoms, dont le succès commence à devenir de plus en plus grandissant. Le groupe était déjà passé dans la capitale l’année dernière à La Maroquinerie. Un concert qui avait rapidement été sold out et qui avait été salué par la critique. Depuis, les Blossoms semblent encore avoir conquis de nouveaux fans. Le public connaissait les paroles de leurs titres les plus connus à l’instar de Charlemagne et réclamait certaines autres chansons. Un concert convaincant qui témoigne de leur talent.
Enfin arrivent les tant attendus The Kooks. Le groupe commence par un titre bien connu de leur répertoire, Always where I need to be, sorti il y a déjà onze années (!) et qui n’a pas pris une ride. The Kooks sont heureux d’être sur scène, ça se voit et ça se ressent. Débordant d’énergie, le groupe mené par le leader Luke Pritchard promet un concert réunissant leurs anciennes chansons, qui ont fait leur succès, et des titres plus récents, en provenance de leur dernier album. On a pu ainsi entendre des morceaux tels que Four leaf Clover, All the Time, Weight of the World, Pamela mais ce sont en particulier leurs chansons les plus vieilles qui ont rencontré un franc succès auprès du public (Sofa Song, Eddie’s Gun, She Moves in her own way, Ooh la, Do you wanna, Seaside, Junk of the Heart, …) Au total, le public a pu se délecter de vingt-deux des plus beaux morceaux des Kooks. Tous les titres les plus connus sont joués, transportant les fans de la première heure, une dizaine d’années en arrière. Le concert se clôture sur Naive, repris à l’unisson par un public connaissant toutes les paroles et qui semble les connaitre depuis déjà bien longtemps …
Alors le concert des Kooks, nostalgique ? Oui, mais dans le bon sens. On se souvient de leurs débuts, jouant dans les rues de Paris, dans des salles plus ou moins intimistes et on ne peut qu’applaudir leur très joli parcours. C’était la seconde fois que je les voyais et les Kooks deviennent toujours un peu plus professionnels, suivent une évolution musicale intelligente et diversifiée et prouvent qu’ils n’ont pas besoin d’un attirail fastueux de mise en scène pour offrir un concert de qualité.
Quatorze ans de carrière, certes, mais toujours autant d’énergie, de joie, de passion et surtout, The Kooks ont réussi à rester humbles et proches de leur public. On leur souhaite encore autant d’années de carrière.