Photographe autodidacte, j'ai commencé gentiment avec un 350D et aujourd'hui d'un 70D.
Etant parti sur Poitiers, grâce à la création de Concertmag, je suis devenu photographe de concerts depuis 3 ans sur la Vienne et les Deux Sèvres.
Depuis un peu moins d'une année, j'ai élargi mon activité photographique et me suis mis à la photographie de portrait avec des shootings mode.
C’est à la maison que nous recevons Malik Djoudi pour une prestation très dansante.
Mais avant de commencer, il y eu 2 prestations. Une de Ariel Ariel. Artiste pop-rock et fier de ses racines antillaise, c’est avec une musique moderne et une pop électronique qu’il a su conquérir le public pour commencer cette soirée. Cette dernière chanson interprétée en créole fut très sympa.
Puis suivi Barbagallo, un chanteur, Julien Barbagallo, un clavier, une bassiste et un guitariste et le tour est joué. Se nommant lui même variété de cocagne, Julien n’est pas encore totalement connu en France mais de l’autre coté du monde, il est une véritable star en tant que batteur du groupe Tame Impala, groupe méga reconnu en Australie. C’est donc en présentation de son 2ème album solo que Julien vient sur scène et sa prestation accompagné de ses collègues fut très bien réussie.
Arrive pour terminer le local de la soirée puisque Malik Djoudi habite Poitiers. Malik commence à se faire connaitre de plus en plus au point de faire a couverture de certains grands magazines. Malik a une voix dite androgyne mais fait de la vraie musique électro qu’on appelle PAO. Musique électro avec des instrus, c’est magnifique. Sélectionné pour le printemps de Bourges pour sa sélection des Inouis 2018, nous lui espérons une superbe carrière comme d’autres talent reconnus comme Eddy De Pretto, Fishbach et bien d’autres. So premier EP, “un”, avec son titre phare “sous garantie”, je prédis vraiment une belle carrière dans son style à cet artiste franchement incroyable. Pour moi et grâce au TAP, ce fut une belle découverte que je suivrais de très pret.