Photographe de concerts et de spectacles en général. Plutôt électro, pop, rock et jazz.
Intérêt également pour la photographie d'architecture, le corporate, le reportage et l'événementiel : http://www.flosortelle.com
Concertmag a assisté à la 1ère édition du festival London Jazz Calling à la Maroquinerie.
L’affiche promettait de découvrir l’underground du jazz UK et ce fut en effet le cas (nous avons assisté aux 2 premiers jours de ce festival, sur les 3).
Le 1er jour a été surprenant avec un phénomène nommé Paddy Steer en ouverture du festival.
Difficile de décrire ce personnage et son style musical. Entouré de ses machines et habillé tel un gourou puis portant un casque d’extraterrestre, il joue de la batterie, des claviers et de multiples machines, de boites à rythmes dans une espèce de chaos rythmé intéressant et de lights discos. Un côté fantasque et génial pour quelqu’un qui n’a jamais quitté le monde de l’enfance.
Fin de la soirée et rendez-vous le lendemain pour 2 nouveaux groupes.
Ce sera Binker & Moses (mon coup de coeur de ces 2 jours de festival) qui ouvriront la soirée.
Duo de saxophone et batterie impressionnant par sa maîtrise, son plaisir de jouer et son dynamisme. On se laisse vite emporter et ça passe bien trop vite.
Get the blessing, le 2ème groupe de la soirée, est composé de 4 musiciens (batterie, saxophone, basse et trompette) habillés en costume noir et chemise blanche, type club de jazz. Un groupe très mélodique et rythmique qui donne la part belle aux cuivres.
Une belle réussite que cette première édition du London Jazz Calling sous le signe de la créativité avec de vraies découvertes.