Photographe passionné depuis…..fort longtemps, j’ai découvert l’univers festif des concerts il y a quelques années, alliant mes deux passions la photographie et la musique
Photographies et article : Flo Sortelle et Didier Brun
Nous débutons cette soirée à La Cigale avec le groupe Belge « Glauque » qui mélange allègrement Rock, Hip-Hop et électro avec une grande énergie. Finaliste du concours circuit à Bruxelles en décembre 2018, il y a obtenu le 2ème prix https://www.court-circuit.be/actualite/saudade-remporte-le-concours-circuit-2018/
Les membres de Glauque prennent du plaisir sur scène et le public également.
Deux titres ont été diffusés sur YouTube, Robot et Plane (posté fin juin), la sortie de leur premier album est prévu pour 2020.
En attendant Irma je décide de faire un petit saut juste à côté à La Boule Noire pour découvrir le groupe Suisse « Black Sea Dahu » avec la voix envoutante de leur chanteuse Janin Cathrein.
Leur premier album « White Creatures » est sorti fin 2018.
Le style Folk nous emmène en ballade jusqu’en Norvège dans une cabane ou le titre « In Case I Fall For You » a été composé. La présence d’un violoncelle amène une autre dimension à l’orchestre et à la voix mélodieuse de Janine.
IRMA est cette jeune artiste qui s’était fait connaître sur les réseaux sociaux grâce à son titre « I know », ce qui lui valu d’être signée par un label participatif.
« I know » fut ensuite repris par Google pour une campagne publicitaire.
Ce soir, elle se produit en solo à la Cigale avec sa guitare. Une histoire qu’elle nous raconte en chansons, simple, vraie, spontanée. On en redemande !
C’est au Phono Museum que je découvre Quentin Sauvé, l’atmosphère feutré des lieux et un éclairage minimalisme (1 lampe) nous aide à plonger dans son univers mélancolique Folk.
Le silence est absolu dans cette petite salle où la voix claire et profonde de Quentin raisonne accompagné de sa seule guitare. Un bon moment passé en sa compagnie.
Nous retrouvons ensuite le groupe DEWAERE sur la scène de la Boule Noire, un groupe de noise punk venu tout droit de Saint-Brieuc.
Maxwell Farrington, le chanteur charismatique et déjanté du groupe va mettre l’ambiance pendant tout le concert, faisant des allers-retours entre la scène et le public,
se roulant par terre et buvant de la bière entre deux titres.
Timing un peu serré et arrivée pour la fin du concert de PONGO à la Cigale, le temps de s’apercevoir de l’ambiance de feu que dégage ce show.
La salle est pleine à craquer d’un public qui chante et qui danse sur les rythmes du Kuduro, un mélange de break danse, de samba angolaise et d’électronique.
De retour à la Boule Noire pour le groupe avignonnais « Le SuperHomard ». Ils nous emmènent pour un voyage dans le temps. Nous vivons un moment hors du temps, nous nous retrouvons dans les années 70 avec des morceaux Pop vintage et psychédélique.
Leur album « Meadow Lane Park » est sorti le 22 février 2019 chez Elefant Records.
Dernier concert, ce sera YSEULT à la Cigale.
Sa musique est nourrie de variété, d’Indie rock, de psychédélique, de pop et de rap. Une voix puissante, une nature vraie et de l’humour.
Malgré quelques petits soucis techniques qui semblent la contrarier pendant le concert, Yseult emmène le public, elle a déjà ses fans aux premiers rangs dans la fosse.
Son EP « Noir » est sorti en octobre, un premier album est à venir et un peu de patience un concert au Trianon est prévu le 18 novembre 2020.
Je termine cette agréable soirée au Phono Museum en compagnie de la belle et charmante canadienne Salomé Leclerc. C’est une nouvelle fois avec un éclairage minimalisme que se déroule ce concert. Cela convient tout à fait à Salomé qui interprète presque dans la pénombre des titres de ses trois albums accrochée à sa guitare électrique. Son troisième album « Les choses extérieures » sorti fin 2018. Elle est nommée au gala de l’ADISQ, dans la catégorie auteur-compositeur.
Elle nous livre ce soir une très belle prestation à la fois énergique et intimiste, le public est tombé sous son charme. Elle enchaîne une tournée au Québec qui se terminera le 16 mai 2020 à Québec.
Nous espérons très vite la revoir en France.
MaMa Festival jour 3
C’est à la Boule Noire que débute cette 3ème et dernière soirée du MaMa Festival avec le jeune groupe de Rock « Bandit Bandit » composé du duo Maeva Nicolas et Hugo Helerman, ce sont les Bonnie & Clyde du Rock français, pour l’occasion ils sont accompagnés du batteur Anthonny Avril et du bassiste Ariel Moitier. Un premier EP éponyme composé de 5 titres est tout juste sorti le 11 octobre dernier. C’est parti pour 30 minutes d’un Rock garage avec pour commencer leur tube « Maux », le ton de la soirée est donné, Maeva dans sa robe fleurie directement venue des seventies se déhanche avec des mouvements sur une musique très psychédélique, alternant des titres en anglais et en français. Nous n’avons pas vu le temps passé, le public pris en otage exulte et en redemande.
Direction la petite salle intimiste du Phono Museun où se produit la pianiste allemande June Coco qui est une chanteuse et compositrice. C’est avec une voix forte et envoutante qu’elle nous fait découvrir plusieurs de ses compositions sur la vie quotidienne, elle n’est pas sans nous rappeler Kate Bush. Nous avons beaucoup aimé « Neptune’s Daughter » qui devrait figurer dans son premier album qui devrait sortir très prochainement, il sera suivi d’une tournée à travers le monde.
Je suis de retour à la Boule Noire pour voir Ängie (de son vrai nom Angelina Dehn). C’est une jeune chanteuse suédoise de 24 ans, qui est aussi auteur, compositeur et interprète. Genre musical : Pop et Trap-Hop. Cette jolie blonde nous fait découvrir outre son talent de chanteuse, ses nombreux tatouages. Son premier album « Suicidal Since 1995 » est sorti en avril 2018, un second « Everything Is Fake » devrait sortir prochainement.
A noter le clip « BAMBAM » sorti le 20 juin 2019, qu’elle a réalisé avec Christopher Nilsson, la mettant en scène avec le chanteur de Hip-Hop Harrison First.
Pour clôturer ce beau festival riche en découvertes je me rends dans la salle Les Trois Baudets pour « Mottron ». Une nouvelle fois peu de lumière, le côté intimiste est préservé, tel un écrin pour l’artiste. Ce jeune trentenaire auteur, compositeur et interprète nous accueille dans son univers mélancolique. Il utilise sa voix claire et sobre ainsi que les touches de son clavier pour créer des compositions complexes, il repense les instruments classiques à travers l’électronique.
Photographe passionné depuis…..fort longtemps, j’ai découvert l’univers festif des concerts il y a quelques années, alliant mes deux passions la photographie et la musique
Photographies et article : Flo Sortelle et Didier Brun
Nous débutons cette soirée à La Cigale avec le groupe Belge « Glauque » qui mélange allègrement Rock, Hip-Hop et électro avec une grande énergie. Finaliste du concours circuit à Bruxelles en décembre 2018, il y a obtenu le 2ème prix https://www.court-circuit.be/actualite/saudade-remporte-le-concours-circuit-2018/
Les membres de Glauque prennent du plaisir sur scène et le public également.
Deux titres ont été diffusés sur YouTube, Robot et Plane (posté fin juin), la sortie de leur premier album est prévu pour 2020.
En attendant Irma je décide de faire un petit saut juste à côté à La Boule Noire pour découvrir le groupe Suisse « Black Sea Dahu » avec la voix envoutante de leur chanteuse Janin Cathrein.
Leur premier album « White Creatures » est sorti fin 2018.
Le style Folk nous emmène en ballade jusqu’en Norvège dans une cabane ou le titre « In Case I Fall For You » a été composé. La présence d’un violoncelle amène une autre dimension à l’orchestre et à la voix mélodieuse de Janine.
IRMA est cette jeune artiste qui s’était fait connaître sur les réseaux sociaux grâce à son titre « I know », ce qui lui valu d’être signée par un label participatif.
« I know » fut ensuite repris par Google pour une campagne publicitaire.
Ce soir, elle se produit en solo à la Cigale avec sa guitare. Une histoire qu’elle nous raconte en chansons, simple, vraie, spontanée. On en redemande !
C’est au Phono Museum que je découvre Quentin Sauvé, l’atmosphère feutré des lieux et un éclairage minimalisme (1 lampe) nous aide à plonger dans son univers mélancolique Folk.
Le silence est absolu dans cette petite salle où la voix claire et profonde de Quentin raisonne accompagné de sa seule guitare. Un bon moment passé en sa compagnie.
Nous retrouvons ensuite le groupe DEWAERE sur la scène de la Boule Noire, un groupe de noise punk venu tout droit de Saint-Brieuc.
Maxwell Farrington, le chanteur charismatique et déjanté du groupe va mettre l’ambiance pendant tout le concert, faisant des allers-retours entre la scène et le public,
se roulant par terre et buvant de la bière entre deux titres.
Timing un peu serré et arrivée pour la fin du concert de PONGO à la Cigale, le temps de s’apercevoir de l’ambiance de feu que dégage ce show.
La salle est pleine à craquer d’un public qui chante et qui danse sur les rythmes du Kuduro, un mélange de break danse, de samba angolaise et d’électronique.
De retour à la Boule Noire pour le groupe avignonnais « Le SuperHomard ». Ils nous emmènent pour un voyage dans le temps. Nous vivons un moment hors du temps, nous nous retrouvons dans les années 70 avec des morceaux Pop vintage et psychédélique.
Leur album « Meadow Lane Park » est sorti le 22 février 2019 chez Elefant Records.
Dernier concert, ce sera YSEULT à la Cigale.
Sa musique est nourrie de variété, d’Indie rock, de psychédélique, de pop et de rap. Une voix puissante, une nature vraie et de l’humour.
Malgré quelques petits soucis techniques qui semblent la contrarier pendant le concert, Yseult emmène le public, elle a déjà ses fans aux premiers rangs dans la fosse.
Son EP « Noir » est sorti en octobre, un premier album est à venir et un peu de patience un concert au Trianon est prévu le 18 novembre 2020.
Je termine cette agréable soirée au Phono Museum en compagnie de la belle et charmante canadienne Salomé Leclerc. C’est une nouvelle fois avec un éclairage minimalisme que se déroule ce concert. Cela convient tout à fait à Salomé qui interprète presque dans la pénombre des titres de ses trois albums accrochée à sa guitare électrique. Son troisième album « Les choses extérieures » sorti fin 2018. Elle est nommée au gala de l’ADISQ, dans la catégorie auteur-compositeur.
Elle nous livre ce soir une très belle prestation à la fois énergique et intimiste, le public est tombé sous son charme. Elle enchaîne une tournée au Québec qui se terminera le 16 mai 2020 à Québec.
Nous espérons très vite la revoir en France.
MaMa Festival jour 3
C’est à la Boule Noire que débute cette 3ème et dernière soirée du MaMa Festival avec le jeune groupe de Rock « Bandit Bandit » composé du duo Maeva Nicolas et Hugo Helerman, ce sont les Bonnie & Clyde du Rock français, pour l’occasion ils sont accompagnés du batteur Anthonny Avril et du bassiste Ariel Moitier. Un premier EP éponyme composé de 5 titres est tout juste sorti le 11 octobre dernier. C’est parti pour 30 minutes d’un Rock garage avec pour commencer leur tube « Maux », le ton de la soirée est donné, Maeva dans sa robe fleurie directement venue des seventies se déhanche avec des mouvements sur une musique très psychédélique, alternant des titres en anglais et en français. Nous n’avons pas vu le temps passé, le public pris en otage exulte et en redemande.
Direction la petite salle intimiste du Phono Museun où se produit la pianiste allemande June Coco qui est une chanteuse et compositrice. C’est avec une voix forte et envoutante qu’elle nous fait découvrir plusieurs de ses compositions sur la vie quotidienne, elle n’est pas sans nous rappeler Kate Bush. Nous avons beaucoup aimé « Neptune’s Daughter » qui devrait figurer dans son premier album qui devrait sortir très prochainement, il sera suivi d’une tournée à travers le monde.
Je suis de retour à la Boule Noire pour voir Ängie (de son vrai nom Angelina Dehn). C’est une jeune chanteuse suédoise de 24 ans, qui est aussi auteur, compositeur et interprète. Genre musical : Pop et Trap-Hop. Cette jolie blonde nous fait découvrir outre son talent de chanteuse, ses nombreux tatouages. Son premier album « Suicidal Since 1995 » est sorti en avril 2018, un second « Everything Is Fake » devrait sortir prochainement.
A noter le clip « BAMBAM » sorti le 20 juin 2019, qu’elle a réalisé avec Christopher Nilsson, la mettant en scène avec le chanteur de Hip-Hop Harrison First.
Pour clôturer ce beau festival riche en découvertes je me rends dans la salle Les Trois Baudets pour « Mottron ». Une nouvelle fois peu de lumière, le côté intimiste est préservé, tel un écrin pour l’artiste. Ce jeune trentenaire auteur, compositeur et interprète nous accueille dans son univers mélancolique. Il utilise sa voix claire et sobre ainsi que les touches de son clavier pour créer des compositions complexes, il repense les instruments classiques à travers l’électronique.