La Malienne Fatoumata Diawara (tout le monde l’appelle Fatou) danse dans la troupe de son père dès son enfance ; elle rencontre un grand succès en exécutant l’extravagante danse didadi de Wassoulou, le pays de ses ancêtres au Mali occidental. Après avoir réfléchi, Fatou décide de s’enfuir et parvient à embarquer dans un avion, évitant de justesse la police qui est lancée à ses trousses par sa famille pour « kidnapping ».
Après son premier album Fatou qui l’a révélée au public puis son rôle dans le film Timbuktu, elle a enchaîné les concerts avec le projet de M Lamomali. Fatoumata Diawara est de retour en 2018 avec un nouvel album en avril,qu’elle défendra sur scène dans une tournée en quintet.
Un son« folk wassoulou », des textes sereins sur la condition féminine qui parlent d’une histoire de vie tumultueuse laissée derrière elle, la musique de Fatoumata Diawara caresse sensuellement mais vigoureusement le corps. Avec un sourire irisé, cette figure féminine dessine des éléments de jazz et de funk dans un son folklorique contemporain – en adaptant les rythmes rock et les mélodies plaintives de sa tradition Wassoulou ancestrale à travers une sensibilité pop instinctive. Au centre de la musique se trouve sa voix chaude et affectueuse, son jeu de guitare sobre et rythmé et ses chansons magnifiquement mélodiques qui tirent fortement parti de son expérience souvent troublée.
En France le grand public la ( re ) découvre sur scène avec le spectacle Lanomalie de Mathieu Chedid dit M , en 2017 lors d une tournée triomphale ou elle fera l unanimités auprès des spectateurs qui rempliront chaque soirs les salles de concerts et nombreux Festivals ou ils se produiront
Fatou quand a elle poursuit son chemin tranquillement sans se prendre la téte , l important pour elle etant de partager son message sur la condition des Femmes en Afrique