Caesaria est un groupe composé de trois amis d’enfance, Thomas, Louis et Théo. D’abord passionnés de football, ces trois amis ont fini par déclarer leur amour à la musique. C’est elle qui est devenue leur terrain de feu favori. Le groupe a sorti en 2022 son premier album All We Have Is Now produit par Mark Needham (The Hillers, Imagine Dragons) et Pelle Gunnerfeldt (The Hives, Viagra Boys). Un opus qui précède leur nouvel album Tonight Will Only Make Me Love You More sorti en mai dernier. A l’occasion de la sortie de l’album, Concert Mag a échangé avec Théo, l’un des membres du groupe.
Vous avez sorti votre nouvel album intitulé Tonight Will Only Make Me Love You More qui succède à votre premier album All We Have Is Now sorti en 2022. Avec le recul, quel regard portez-vous tes camarades sur ce premier projet ?
Théo : On a un regard plutôt bienveillant. C’est le premier album qu’on a sorti. Il fait partie de notre parcours. On est très heureux de l’avoir fait vivre.
Que vous inspire le titre du deuxième album ?
C’est un album qu’on a enregistré à Manchester à Londres. On a vécu des choses plutôt dures dans nos vies. L’idée de cet album était de revenir à un besoin viscéral d’amour et d’urgence de vivre.
Quels sont les sujets ou les thèmes qui vous tenaient à cœur pour cet album ?
Notre musique est un mélange entre le rock et l’électro. Dans cet album, on a surtout voulu parler de choses qu’on a vécues. On parle d’amour, de rébellion, de colère, de douleur, de désillusion… On avait hésité à appeler notre album “Love, Dream and Rebellion” parce que c’était un peu les trois grands thèmes qui nous tenaient à cœur. On parle aussi de nos ambitions, du fait qu’on s’est rencontrés quand on avait dix ans.
Certains titres de l’album comme “It’s Not The End” ou encore “Empty Club” ont été dévoilés avant la sortie de l’album. Comment ont-ils été reçus ?
Plutôt bien ! Ce sont les deux titres de l’album qui nous tenaient à cœur parce que “Empty Club” c’était le titre qui était vraiment lié à Manchester. Il est très rythmique dans une vibe 90’s. “It’s Not The End” est l’un des titres les plus sincères et authentiques de l’album parce que je parle de la perte de ma mère.
Vous étiez en concert sur la scène des Eurockéennes de Belfort le 5 juillet dernier. Vous serez à Aix-les-Bains le 24 juillet. Etes-vous déterminé à vous affirmer davantage sur la scène nationale ?
Bien sûr ! Là, on est partis pour une tournée de plusieurs dates. C’est sur scène qu’on se sent le plus vivants. On a connu la scène des Eurockéennes lorsque nous avions 13 ans. C’est là qu’on a appris à aimer la musique live. On veut tourner à travers le monde. On va jouer en Espagne, en Allemagne et même en Angleterre. En tout cas, on jouera partout où on veut de nous.
Suivez Caesaria sur :