Auteur Photographe à Tours, enjouée, rêveuse, sensible, Passionnée depuis toujours,
éternelle autodidacte, j'aime la Liberté de Pensée, m'évader sur du papier glacé ...
Je travaille essentiellement en lumière naturelle, en extérieur, à votre domicile, selon vos Envies. Parce que Photographier votre bonheur fait le mien ...
C'est une évasion.
http://sorenzapassionphotos.com/fr/accueil.html
Une ovation salue Simone et Jean-Marc, ses chiens, désormais à l’image. Stars des réseaux et de l’univers du chanteur, intégrés dans des visuels aux dominantes roses et bleues, les bergers suisses se font choristes de choix pour un « Waf » d’anthologie. Le concert bascule dans une autre dimension.
On s’amusait, voilà qu’on délire alors qu’il décolle sur un tapis volant, monté sur vérins et comme posé sur un coussin de fumée. Le voici surfeur de nuages au côté de ses chiens filant sur un cumulus en plein ciel. « Oh-la-la, viens, on s’accoude aux étoiles/On a fait le tour de Verlaine et de Kafka », il s’élève encore, direction l’espace, croisant astres et satellites, un chien volant et un chat aux yeux en cœur, une licorne ou un dinosaure…
Sur fond de plage tropicale, il le « Coco Câline » son public, indiquant la température sur une fausse carte météo : 47 °C ! Surgit alors un panda qui fait à son tour danser la foule. Plus tard, ce sera un dinosaure, un bestiaire tout droit sorti de ses clips. En servant son « Chou Wasabi » d’une voix de velours, il fait encore monter la chaleur, tombant la veste pour enfiler, tous muscles saillants, un veston du même rose…
S’ouvre une page plus intimiste, moment en suspension. Une haie de nuages se forme en fond tandis qu’il entame « Moi Lolita ». Viennent les « Sunlight » de Gilbert Montagné et bien sûr « Aline » de Christophe, incontournable de ses concerts, que la salle reprend. On frissonne. Après « Kiki », lettre aux jeunes générations oscillant entre abattement et espoir, il plonge avec « Corbeau Blanc » dans la noirceur, offrant à ce titre aux accents suicidaires des tableaux d’une intensité abyssale.
Merci du fond du cœur les amis d’être là ce soir, un peu pour moi, un peu pour nous, et de me donner autant.
Auteur Photographe à Tours, enjouée, rêveuse, sensible, Passionnée depuis toujours,
éternelle autodidacte, j'aime la Liberté de Pensée, m'évader sur du papier glacé ...
Je travaille essentiellement en lumière naturelle, en extérieur, à votre domicile, selon vos Envies. Parce que Photographier votre bonheur fait le mien ...
C'est une évasion.
http://sorenzapassionphotos.com/fr/accueil.html
Une ovation salue Simone et Jean-Marc, ses chiens, désormais à l’image. Stars des réseaux et de l’univers du chanteur, intégrés dans des visuels aux dominantes roses et bleues, les bergers suisses se font choristes de choix pour un « Waf » d’anthologie. Le concert bascule dans une autre dimension.
On s’amusait, voilà qu’on délire alors qu’il décolle sur un tapis volant, monté sur vérins et comme posé sur un coussin de fumée. Le voici surfeur de nuages au côté de ses chiens filant sur un cumulus en plein ciel. « Oh-la-la, viens, on s’accoude aux étoiles/On a fait le tour de Verlaine et de Kafka », il s’élève encore, direction l’espace, croisant astres et satellites, un chien volant et un chat aux yeux en cœur, une licorne ou un dinosaure…
Sur fond de plage tropicale, il le « Coco Câline » son public, indiquant la température sur une fausse carte météo : 47 °C ! Surgit alors un panda qui fait à son tour danser la foule. Plus tard, ce sera un dinosaure, un bestiaire tout droit sorti de ses clips. En servant son « Chou Wasabi » d’une voix de velours, il fait encore monter la chaleur, tombant la veste pour enfiler, tous muscles saillants, un veston du même rose…
S’ouvre une page plus intimiste, moment en suspension. Une haie de nuages se forme en fond tandis qu’il entame « Moi Lolita ». Viennent les « Sunlight » de Gilbert Montagné et bien sûr « Aline » de Christophe, incontournable de ses concerts, que la salle reprend. On frissonne. Après « Kiki », lettre aux jeunes générations oscillant entre abattement et espoir, il plonge avec « Corbeau Blanc » dans la noirceur, offrant à ce titre aux accents suicidaires des tableaux d’une intensité abyssale.
Merci du fond du cœur les amis d’être là ce soir, un peu pour moi, un peu pour nous, et de me donner autant.