Photographe autodidacte, j'ai commencé gentiment avec un 350D et aujourd'hui d'un 70D.
Etant parti sur Poitiers, grâce à la création de Concertmag, je suis devenu photographe de concerts depuis 3 ans sur la Vienne et les Deux Sèvres.
Depuis un peu moins d'une année, j'ai élargi mon activité photographique et me suis mis à la photographie de portrait avec des shootings mode.
Jérémy Frérot, né en 1990 en région girondine, était pendant 6 ans, la moitié du duo Fréro Delavega qui a fait un carton de 2011 à 2017. Il décide en 2018 de se lancer seul et c’est à Chauvigny que nous retrouvons cet artiste.
Look de surfer avec sa coupe de cheveux et son jean déchiré, c’est sous une musique traditionnelle russe que Jérémy entre sur scène. Son album “Matriochka” en est la raison. Matriochka est tout simplement un clin d’oeil à sa mère d’origine russe.
Jérémy n’est pas perdu sans son binôme passé car il a ses musiciens, un clavier, une guitare et un batteur. Lui qui craignait la solitude, il a su s’entourer sous la coupe de Laurent Lamarca et Ben Mazué. Les titres de son 1er album débuteront le concert mais aussi un titre de Fréro Delavega: “Le coeur éléphant”.
Après un début de concert plutôt timide, Jérémy s’est réchauffé avec le public pour aller faire une partie de son concert dans la foule pour le plus grand bonheur de celle-ci. Une grande partie de son concert tourne avec des textes sur son combat, sur la mer. Assez pudique dans la vie, c’est vraiment sur scène que nous découvrons un Jérémy mis en avant, bien plus que lors de Fréro Delavega aux côtés d’un Florian plus extraverti. Les titres “Revoir” et “Tu donnes” seront surement les titres les plus repris par le public, plutôt jeune et féminin. Etonnant ….pas vraiment.
Jérémy, pour ses premières dates seul aura fait une excellente prestation devant les 7000 personnes de Chauvigny. Sa carrière solo est bien lancée et nous espérons qu’il ne lâchera jamais.