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Le nom ne dit rien à certains, mais sa chanson « Take me to church » ne laisse pas indifférent, c’est sûrement pour cela que l’Olympia affiche complet depuis plusieurs semaines pour cette unique date à Paris de Hozier.
Pour la première partie, Hozier et la production ont fait appel à un jeune groupe irlandais, venue de la même ville que le chanteur. Ce groupe composé de 3 jeunes femmes va nous proposer un bon moment, la voix de la batteuse est à tomber, et à vraiment quelque chose, c’est une très belle découverte et l’ensemble donne un coté agréable à écouter.
Après un peu plus de vingt minutes d’entracte, c’est au tour d’Hozier de monter sur scène, et le chanteur irlandais n’est pas seul puisqu’ il est accompagné de musiciens, et de choristes.
Ce chanteur nous fait voyager dans son Irlande natale avec ses chansons qui sont un mixte entre blues américain et ballade irlandaise, c’est un régal d’entendre cette voix profonde, ce timbre de voix si particulier.
Le public en grande majorité féminin est carrément conquis par Hozier, et dès les premières notes, le public chante. C’est encore plus vibrant sur le « Take Me To Church », cette chanson déjà si vibrante émotionnellement par le message qu’elle véhicule devient un hymne dans cette salle comble, repris en cœur par l’ensemble de la salle, cela donne des frissons malgré la chaleur.
On notera aussi deux autres très bon moment, d’une part la reprise de la chanson d’Ariana Grande, « Problem » et « Cherry Wine » qu’il interprétera dans un silence de cathédrale.
Bref, c’est un concert de haut niveau et avec une décontraction totale que nous a offert Hozier . Pour tous ceux qui n’ont pas pu être présent, sachez qu’il reviendra en France en janvier 2016 à Paris aux Folies Bergère, cette fois ne le manquez pas.
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